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Informations pratiques

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Du 14 novembre 2024 au 15 janvier 2025

Vernissage le 14 novembre à 18h30
À voir dans le hall de la MC2 du mardi au samedi de 13h à 19h et les soirs de spectacle

Réseaux sociaux

Le projet Figures imposées, figures libres offre une plongée intimiste dans le parcours de Ludivine, jeune athlète de roller artistique. Il explore sa dernière saison sportive et les mois qui suivent sa retraite, mettant en lumière sa résilience face au traumatisme des années de violences sexuelles infligées par son ancien entraîneur.
Comment le monde du sport, théâtre de ces tragédies, peut-il servir de catalyseur vers la résilience? Quel sens revêt une dernière saison sportive dans le contexte de ce passé ?Comment aller au-delà de l’histoire personnelle de Ludivine pour découvrir qui elle est réellement? Et comment son parcours peut-il inspirer d’autres femmes ?
Ce projet interroge la notion de résilience à travers un cheminement singulier, en explorant le rôle complexe du sport, à la fois lieu de « rédemption » et parfois de drames. Il met en avant le pouvoir libérateur de la parole et son impact inspirant pour d’autres victimes.
Au travers de ces visuels intimistes et de ce travail sur le clair-obscur, il s’agit d’explorer la notion du secret dans ce parcours, en soulignant les défis et les dilemmes auxquels Ludivine a dû faire face.
À travers l’histoire personnelle de Ludivine, ce projet aspire à toucher à l’universalité du fléau des violences sexuelles et à ses conséquences pour les victimes.

Vernissage le 14 novembre à 18h30

Biographie

Auteure photographe depuis 2018, Nathalie Champagne vit et travaille à Nantes.
À travers ses photographies, elle interroge notre relation à l’autre et explore le monde qui l’entoure. Autodidacte, elle développe une approche documentaire profondément ancrée dans l’humain. Son approche photographique explore l’intime en tentant de faire apparaître une poésie en clair-obscur. Elle tente de suggérer ce qui ne se voit pas, ce qui se trouve derrière : l’invisible, l’indicible, et les non-dits.
Son univers visuel est nourri par le cinéma et la peinture, ce qui confère à ses photographies une dimension narrative et picturale. Travaillant de manière intuitive en immersion, son travail personnel est marqué par une dimension introspective et poétique.
Les séries L’Italie n’est pas en Italie et aux heures perdues ont été exposées à Nantes et à Paris. Depuis 2022, elle documente le parcours d’une athlète de haut niveau et interroge la notion de résilience dans le cadre de violences sexuelles. En 2024, le projet Figures imposées, figures libres est programmé au Festival L’OEil Urbain à Corbeil-Essonnes, aux Nuits Photographiques de Pierrevert ainsi qu’en projection à la Maison Européenne de la Photographie.

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